Les opérations d’urgence se multiplient face aux cyclones, inondations, éruptions volcaniques et épidémies, tandis que les effets prévisibles du changement climatique accroissent la vulnérabilité des populations face aux aléas naturels. Néanmoins, les risques de catastrophes ne sont pas une fatalité, ils peuvent être gérés et réduits.
Sensibiliser les populations, élaborer des plans de contingence, construire des murs de protection, aménager des zones de refuge, mettre en place des systèmes d’alerte et de communication… Autant d’activités qui permettent accroître la résilience des populations face aux risques de catastrophes. Si elles font l’objet d’une attention médiatique moins soutenue, les activités de réduction des risques sont donc essentielles. En tant qu’auxiliaires des pouvoirs publics, les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge s’intègrent pleinement à la chaîne des secours et travaillent aux côtés des populations. Avec plus de 800 comités locaux et 35 000 volontaires actifs dans l’océan Indien, les membres de la PIROI peuvent réduire l’impact des catastrophes naturelles. « Agissons aujourd’hui, pour mieux sauver demain ».